Dépose du mécanisme d’embrayage. Belle oxydation du volant moteur. Le disque y a laissé des traces !!!
Oxydation superficielle, il me semble. J’espère pouvoir récupérer ce volant moteur car il a été équilibré avec le mécanisme et le vilebrequin.
La dépose de la pompe à eau laisse voir l’intérieur de la culasse.
L’état ne me parait pas trop catastrophique. Il va falloir nettoyer tout ça.
Côté pompe à eau. Je ne l’ai pas encore ouverte, mais elle tourne facilement. C’est bon signe.
Les rampes de culbuteurs. Ça baigne … dans l’huile. Un peu de rouille sur les puits de bougies. J’ai un peu peur justement pour la dépose des bougies ! J’espère qu’elles ne sont pas grippées dans l’alu de la culasse.
Saint WD 40, aidez moi !!!
Un ressort intérieur de culbuteur n’a pas résisté à l’attente de tant d’années. Il est en morceau.
Face cachée de la culasse et ces chambres hémisphériques.
L’une n’est pas de la même couleur que les autres. Je crois qu’il s’agit du cylindre qui est resté ouvert pendant plus de trente ans. Ne serait ce pas là également la raison de la rupture du ressort qui serait resté comprimé ? Il faut que je vérifie s’il correspond au même cylindre.
Les chemises et les pistons. Oxydation très faible des chemises simplement au dessus du point mort haut des pistons. Aucun problème de déplacement.
Le carter d’huile aluminium avec ces cloisons anti-déjaugeage.
Restaurations anciennes avec quelques brasures. D’autres seront à faire.
A ce propos, je viens de retrouver dans mon stock, un carter d’huile « Pierre Ferry ».
Je me déciderai plus tard pour le choix de celui qui sera monté. L’avantage de ce dernier, est qu’il possède deux orifices de vidange dont l’un pourrait me servir pour y loger la thermistance de température d’huile. Mais, on en reparlera …
Vue partielle sur le vilebrequin et les bielles.
Les souvenirs des images reviennent : on revoit l’allégement réalisé par usinage.
(Sté Beauzon pour le vilo.)
On verra mieux tout ça après démontage.
Bilan assez bon pour la première journée !
Mais attendons, avant de trop nous réjouir, d’avoir déposer les chemises et ainsi découvrir la partie la plus exposée, c'est-à-dire où circulait le liquide de refroidissement !!!