Après un premier lavage dans l’essence pour dégraisser au maximum, j’ai testé une méthode pour décaper les pièces en aluminium oxydées.
Il suffit de tremper la pièce dans de la lessive de soude et de frotter énergiquement avec un pinceau.
Au bout de quelques minutes, le liquide ‘bouillonne’ à la surface de la pièce qui se noircie assez vite.
Lorsque le résultat obtenu est satisfaisant, il faut faire un rinçage soigné à l’eau courante.
Après séchage, la couche noirâtre s’élimine très facilement par brossage.
J’ai utilisé une brosse métallique manuelle à fils de Ø 0.15 mm en laiton.
Assez douce, mais pourtant très efficace.
Nettoyage et polissage de l’alésage intérieur et particulièrement dans la gorge du joint.
J’espère que l’étanchéité sera assurée malgré les traces d’oxydation en fond de gorge.
Retouche pour améliorer la modification des nervures, nécessaire pour assurer le passage de la jante.
Ensuite, j’ai testé pour la première fois également le vernis pour alliages légers VCA 4040 de chez Restom.
Après un ultime nettoyage à l’acétone, comme préconisé, passage au pinceau d’une couche de vernis pour obtenir le résultat suivant :
Pour obtenir une résistance accrue et une meilleure tenue en température, je vais tester la cuisson au four …. de la cuisine ! 180 °C pendant 5 mn après séchage de quelques jours.
Sur cette dernière photo, on aperçoit à droite, à la jonction des trois nervures centrales, le sigle ‘carré’ indiquant que le joint intérieur est de section carrée. Le sigle rond, indique l’utilisation d’un joint torique.
Commande des joints à faire et je pourrai remonter en utilisant la graisse à frein GAF 5040 de chez Restom.